Déménager après un achat d’un bien Immobilier

Vous venez d’acquérir un logement et vous vous apprêtez à déménager ? Entre formalités administratives, demandes d’aides financières et organisation matérielle de votre déménagement, vous avez du mal à y voir clair ? Voici quelques clés pour vous aider à bien vous organiser en toute sérénité !

Sur le plan administratif, des démarches indispensables à effectuer !

Déménager, c’est souvent et d’abord prendre ses dispositions pour que l’Etat et plus généralement les services publics (Caisse Primaire d’Assurance Maladie, Caisses de Retraite, Caisses d’Allocations Familiales, Centre des finances publiques, etc.) soient avertis de votre changement de logement. Pour faciliter les démarches et vous éviter d’avoir à contacter par courrier tous ces acteurs publics, l’Etat a mis en place un nouveau service internet : www.mon.service-public.fr . Sur cette plateforme, vous pourrez renseigner votre nouvelle adresse. Celle-ci sera ensuite transmise simultanément aux organismes publics cités plus haut. Si vous changez de municipalité, pensez à vous inscrire sur les listes électorales de votre nouvelle commune. Pas de formalités à accomplir du côté de votre ancienne commune : vous disparaîtrez des listes automatiquement.

 

Ensuite, pensez à informer vos fournisseurs de gaz, d’eau, d’électricité, d’internet et de téléphone de votre déménagement. Cela vous évitera de payer des mensualités en trop et vous permettra d’être raccordé rapidement après votre déménagement. Vous pouvez réaliser ces démarches en ligne ou par téléphone. Vos fournisseurs vous informeront pas à pas sur les étapes à effectuer pour résilier vos anciens contrats et raccorder votre futur domicile à leur réseau respectif.

 

Enfin, rapprochez-vous de votre compagnie d’assurance : avertissez là de votre changement de domicile par lettre recommandée. Si vos anciens et futurs logements remplissent les mêmes caractéristiques, vous n’aurez pas à changer votre contrat d’assurance qui sera juste adapté à votre nouvelle situation (avenant au contrat). Si votre changement d’habitation implique des risques différents, il vous faudra alors rediscuter les termes de votre contrat (couverture d’assurance et prix).

 

Notez bien que vous pouvez effectuer ces démarches jusqu’à 2 mois avant votre déménagement effectif. De quoi prendre de l’avance pour vous soulager avant d’attaquer l’organisation matérielle du déménagement !

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Investir dans un parking, conseils et astuces

Investir dans un parking ou un garage situé au bon endroit est généralement un investissement très rentable, qui présente de nombreux atouts par rapport à de la location d’habitation. Acheter un parking est notamment plus abordable et les démarches administratives sont simplifiées par rapport à un investissement immobilier classique.

Le choix est vaste, il est possible d’investir dans un parking qui se trouve dans un bâtiment public ou privé, dans un immeuble de bureaux ou dans un centre commercial.

4 bonnes raisons d’investir dans un parking ou un garage

Prix accessible

Premièrement, un investissement peu coûteux avec un ticket d’entrée qui peut aller de quelques milliers d’euros pour une place de parking extérieure à quelques dizaines de milliers pour un box sécurisé.

Bon rendement

Qui offre en moyenne un rendement supérieur à celui d’un appartement.

Faibles charges

Notamment en raison de dépenses d’entretien ou de travaux très limités et de faibles charges.

Gestion simplifiée

Avec de plus, une gestion locative plus simple, les conditions du bail de location étant fixées librement par le bailleur, et moins risquée, avec l’expulsion plus facile du locataire en cas de non-paiement du loyer.
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la taxe sur la plus-value

Le marché de l’immobilier est un secteur qui ne cesse de se développer. Cependant, l’offre ne suit pas la demande, particulièrement dans les zones tendues. Dans le but de stimuler la construction, l’Etat propose des mesures incitatives. L’assouplissement de la taxe sur la plus-value immobilière va dans ce sens. L’objectif est de motiver les propriétaires qui décident de vendre leur bien : un appartement, une maison, un immeuble ou un terrain à bâtir. Tout savoir sur la taxe sur la plus-value.

Les plus-values immobilières

Plusieurs facteurs contribuent à rehausser la valeur d’un bien immobilier. Avez-vous réalisé des travaux d’aménagement pour augmenter le confort et/ou pour disposer de plus d’espace? Votre quartier a-t-il évolué avec la mise en place d’un centre commercial avec les facilités? Les transports en commun relient désormais votre ville aux grandes agglomérations. En mettant votre bien sur le marché, vous allez le céder à un prix supérieur à l’achat. La plus-value immobilière est la différence entre le prix de vente et le prix d’acquisition. Elle représente le bénéfice que vous aviez empoché lors de la transaction.

Selon la législation en vigueur, le propriétaire doit payer la taxe sur la plus-value immobilière. Cette mesure s’applique sur la plus-value imposable ou la plus-value nette. La plus-value imposable se calcule à partir de la plus-value brute. La plus-value brute représente la différence entre le coût de vente corrigé et le coût d’achat corrigé. La correction du coût de vente consiste à additionner les indemnités et les charges de l’acheteur et à soustraire les frais du vendeur. Pour corriger le prix d’acquisition, vous majorez les frais d’achat de 7.5%. Eventuellement, vous additionnez les dépenses en travaux.

Conditions de taxation de la plus-value immobilière

L’application de la taxe sur la plus-value immobilière n’est pas systématique. Elle cible certaines catégories de biens. L’imposition concerne la vente par un particulier d’un habitat, d’une résidence ou de son droit immobilier. Elle touche également les donations, les successions et les échanges de bien à titre onéreux. Les détenteurs de société immobilière qui font une plus-value sur la cession de leur titre sont aussi imposables. Avez-vous obtenu un terrain en nue-propriété ou en usufruit ? Sachez que vous êtes taxable sur le bénéfice que aviez réalisé lors de la vente de votre bien.

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Comment calculer la révision de loyer

Pour procéder à la révision de loyer, il faut prendre en compte de l’IRL (indice de révision de loyer) pour un logement, l’ILC (indice des loyers commerciaux) pour les baux commerciaux, l’ILAT (indice des loyers des activités tertiaires) et l’ICC (indice du coût de la construction). C’est INSEE qui se charge du calcul et de la diffusion de ces indices chaque trimestre. Alors comment calculer la révision de loyer ?

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Départ ou changement du locataire : Quelles sont les démarches à effectuer

Quand un locataire quitte le logement qu’il occupe, c’est la fin du bail. Quelques démarches, aussi bien du côté du locataire que du propriétaire, sont à respecter avant et après avoir quitté les lieux. Voici la liste de démarches à effectuer en cas de départ ou changement du locataire.

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Comment bien estimer le rendement locatif de son investissement immobilier ?

Lorsqu’on se lance dans un projet d’investissement locatif, il est primordial de savoir comment évaluer la rentabilité réelle d’un bien que l’on pourrait convoiter. Et ainsi estimer à quel point cet investissement pourra s’autofinancer. Comment bien estimer le rendement locatif de son investissement immobilier ?

Le rendement brut

C’est le plus simple à calculer, c’est aussi la première étape. C’est en général celui annoncé par les agents immobiliers désireux de vous prouver que l’appartement qu’il vous fait visiter est « idéal pour un investisseur »…Mais attention, on est loin du compte !

Il suffit de diviser la somme des loyers perçus sur une année complète, par le coût total de l’acquisition. (y compris les frais de notaire, d’agence, de travaux, etc…et c’est là qu’il peut déjà y avoir beaucoup d’écart selon ce que l’on prend en compte !).

Par exemple, si un appartement vous revient à 80000€, prêt à louer, et que vos loyers seront de 500€, le rendement brut sera de (500 x 12) / 80000 = 7,5%
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Comment fixer le montant du loyer ?

L’un des paramètres les plus important dans un investissement locatif est bien sûr ixer le bon montant du loyer. En théorie, aucun achat d’un bien locatif ne devrait se faire en ayant déjà une idée précise du loyer que l’on pourra obtenir de son investissement. Fixer le montant du loyer, couplé aux autres chiffres (le montant de l’achat, les mensualités du crédit, les charges de copropriété, etc…) est un facteur clef dans le calcul du rendement locatif et de l’autofinancement.

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